Papa
Tu es parti trop tôt…
Nous voulions t’aimer encore…
Mais ta vie était un fardeau…
La maladie a fini par prendre ton corps…
Sur la mer du souvenir
Ton phare éclaire ma vie…
Le cœur ne saurait vieillir
Telle une étoile qui luit…
Tu étais mon meilleur ami
Témoin de mon enfance…
Je buvais tes paroles, ébloui,
Par tant de connaissances !
Tu me racontais le ciel
L’éclat de chaque étoile…
Chacune était la plus belle
Dont tu soulevais le voile…
J’ignore combien d’heures
J’ai été blotti à tes cotés…
Une éternité de bonheur
Passée à t’écouter…
Tu étais cet humble héros
Capable de tous les rôles…
Y compris sans un mot
De pleurer sur mon épaule…
Le reste de ma vie
Ne pourrait suffire
Pour que tout soit dit
A parler de tes sourires…
Tu m’appelais mon petit
Et tu étais mon Papa…
Nous étions des amis
Et bien au-delà…
31 01 2018
Papa
Tu es parti trop tôt…
Nous voulions t’aimer encore…
Mais ta vie était un fardeau…
La maladie a fini par prendre ton corps…
Sur la mer du souvenir
Ton phare éclaire ma vie…
Le cœur ne saurait vieillir
Telle une étoile qui luit…
Tu étais mon meilleur ami
Témoin de mon enfance…
Je buvais tes paroles, ébloui,
Par tant de connaissances !
Tu me racontais le ciel
L’éclat de chaque étoile…
Chacune était la plus belle
Dont tu soulevais le voile…
J’ignore combien d’heures
J’ai été blotti à tes cotés…
Une éternité de bonheur
Passée à t’écouter…
Tu étais cet humble héros
Capable de tous les rôles…
Y compris sans un mot
De pleurer sur mon épaule…
Le reste de ma vie
Ne pourrait suffire
Pour que tout soit dit
A parler de tes sourires…
Tu m’appelais mon petit
Et tu étais mon Papa…
Nous étions des amis
Et bien au-delà…
31 01 2018
Papa
Tu es parti trop tôt…
Nous voulions t’aimer encore…
Mais ta vie était un fardeau…
La maladie a fini par prendre ton corps…
Sur la mer du souvenir
Ton phare éclaire ma vie…
Le cœur ne saurait vieillir
Telle une étoile qui luit…
Tu étais mon meilleur ami
Témoin de mon enfance…
Je buvais tes paroles, ébloui,
Par tant de connaissances !
Tu me racontais le ciel
L’éclat de chaque étoile…
Chacune était la plus belle
Dont tu soulevais le voile…
J’ignore combien d’heures
J’ai été blotti à tes cotés…
Une éternité de bonheur
Passée à t’écouter…
Tu étais cet humble héros
Capable de tous les rôles…
Y compris sans un mot
De pleurer sur mon épaule…
Le reste de ma vie
Ne pourrait suffire
Pour que tout soit dit
A parler de tes sourires…
Tu m’appelais mon petit
Et tu étais mon Papa…
Nous étions des amis
Et bien au-delà…
31 01 2018