mercredi 31 janvier 2018

Papa


Papa



Tu es parti trop tôt…

Nous voulions t’aimer encore…

Mais ta vie était un fardeau…

La maladie a fini par prendre ton corps…



Sur la mer du souvenir

Ton phare éclaire ma vie…

Le cœur ne saurait vieillir

Telle une étoile qui luit…



Tu étais mon meilleur ami

Témoin de mon enfance…

Je buvais tes paroles, ébloui,

Par tant de connaissances !



Tu me racontais le ciel

L’éclat de chaque étoile…

Chacune était la plus belle

Dont tu soulevais le voile…



J’ignore combien d’heures

J’ai été blotti à tes cotés…

Une éternité de bonheur

Passée à t’écouter…



Tu étais cet humble héros

Capable de tous les rôles…

Y compris sans un mot

De pleurer sur mon épaule…



Le reste de ma vie

Ne pourrait suffire

Pour que tout soit dit

A parler de tes sourires…



Tu m’appelais mon petit

Et tu étais mon Papa…

Nous étions des amis

Et bien au-delà…



31 01 2018









Papa



Tu es parti trop tôt…

Nous voulions t’aimer encore…

Mais ta vie était un fardeau…

La maladie a fini par prendre ton corps…



Sur la mer du souvenir

Ton phare éclaire ma vie…

Le cœur ne saurait vieillir

Telle une étoile qui luit…



Tu étais mon meilleur ami

Témoin de mon enfance…

Je buvais tes paroles, ébloui,

Par tant de connaissances !



Tu me racontais le ciel

L’éclat de chaque étoile…

Chacune était la plus belle

Dont tu soulevais le voile…



J’ignore combien d’heures

J’ai été blotti à tes cotés…

Une éternité de bonheur

Passée à t’écouter…



Tu étais cet humble héros

Capable de tous les rôles…

Y compris sans un mot

De pleurer sur mon épaule…



Le reste de ma vie

Ne pourrait suffire

Pour que tout soit dit

A parler de tes sourires…



Tu m’appelais mon petit

Et tu étais mon Papa…

Nous étions des amis

Et bien au-delà…



31 01 2018









Papa



Tu es parti trop tôt…

Nous voulions t’aimer encore…

Mais ta vie était un fardeau…

La maladie a fini par prendre ton corps…



Sur la mer du souvenir

Ton phare éclaire ma vie…

Le cœur ne saurait vieillir

Telle une étoile qui luit…



Tu étais mon meilleur ami

Témoin de mon enfance…

Je buvais tes paroles, ébloui,

Par tant de connaissances !



Tu me racontais le ciel

L’éclat de chaque étoile…

Chacune était la plus belle

Dont tu soulevais le voile…



J’ignore combien d’heures

J’ai été blotti à tes cotés…

Une éternité de bonheur

Passée à t’écouter…



Tu étais cet humble héros

Capable de tous les rôles…

Y compris sans un mot

De pleurer sur mon épaule…



Le reste de ma vie

Ne pourrait suffire

Pour que tout soit dit

A parler de tes sourires…



Tu m’appelais mon petit

Et tu étais mon Papa…

Nous étions des amis

Et bien au-delà…



31 01 2018








mardi 30 janvier 2018

chiens et chats


Chiens et chats



Croyez-vous être crédibles

Vous créatures angéliques

En nous prenant pour cibles

En nous disant diaboliques…



De par le grand principe

De la poutre et la paille

Auquel nulle analyse ne résiste…

Croyez-vous qu’il faille



Désavouer les uns

Pour innocenter les autres…

Il me semblerait plus opportun

D’être de meilleurs apôtres !



A priori la femme est ainsi

Par la faute de l’homme …

Qui lui reproche le même discrédit !

Pourquoi donc en faire des tonnes !



Alors que nous ignorons tout

De qui a fait le partage…

Des différents atouts

Et autres mirages !!!



Si les hommes cessaient enfin

De dire des femmes

Ce que celles-ci disent avec soin

Des hommes sans âme…



On mettrait un terme

A la guerre des sexes

Pour qu’enfin on discerne

Qui est simple ou complexe !!!



Quand les poules auront des dents

Soit aux calendes Grecques… !

Quand on aura trouvé le temps

De résoudre la quadrature du cercle !





Dans le pire des cas

Entre Sodome et Lesbos

Nous aurons le choix…

Entre creux et bosses !!!

30 01 2018





















































Chiens et chats



Croyez-vous être crédibles

Vous créatures angéliques

En nous prenant pour cibles

En nous disant diaboliques…



De par le grand principe

De la poutre et la paille

Auquel nulle analyse ne résiste…

Croyez-vous qu’il faille



Désavouer les uns

Pour innocenter les autres…

Il me semblerait plus opportun

D’être de meilleurs apôtres !



A priori la femme est ainsi

Par la faute de l’homme …

Qui lui reproche le même discrédit !

Pourquoi donc en faire des tonnes !



Alors que nous ignorons tout

De qui a fait le partage…

Des différents atouts

Et autres mirages !!!



Si les hommes cessaient enfin

De dire des femmes

Ce que celles-ci disent avec soin

Des hommes sans âme…



On mettrait un terme

A la guerre des sexes

Pour qu’enfin on discerne

Qui est simple ou complexe !!!



Quand les poules auront des dents

Soit aux calendes Grecques… !

Quand on aura trouvé le temps

De résoudre la quadrature du cercle !





Dans le pire des cas

Entre Sodome et Lesbos

Nous aurons le choix…

Entre creux et bosses !!!

30 01 2018





















































Chiens et chats



Croyez-vous être crédibles

Vous créatures angéliques

En nous prenant pour cibles

En nous disant diaboliques…



De par le grand principe

De la poutre et la paille

Auquel nulle analyse ne résiste…

Croyez-vous qu’il faille



Désavouer les uns

Pour innocenter les autres…

Il me semblerait plus opportun

D’être de meilleurs apôtres !



A priori la femme est ainsi

Par la faute de l’homme …

Qui lui reproche le même discrédit !

Pourquoi donc en faire des tonnes !



Alors que nous ignorons tout

De qui a fait le partage…

Des différents atouts

Et autres mirages !!!



Si les hommes cessaient enfin

De dire des femmes

Ce que celles-ci disent avec soin

Des hommes sans âme…



On mettrait un terme

A la guerre des sexes

Pour qu’enfin on discerne

Qui est simple ou complexe !!!



Quand les poules auront des dents

Soit aux calendes Grecques… !

Quand on aura trouvé le temps

De résoudre la quadrature du cercle !





Dans le pire des cas

Entre Sodome et Lesbos

Nous aurons le choix…

Entre creux et bosses !!!

30 01 2018





























 
Chiens et chats

Croyez-vous être crédibles
Vous créatures angéliques
En nous prenant pour cibles
En nous disant diaboliques…

De par le grand principe
De la poutre et la paille
Auquel nulle analyse ne résiste…
Croyez-vous qu’il faille

Désavouer les uns
Pour innocenter les autres…
Il me semblerait plus opportun
D’être de meilleurs apôtres !

A priori la femme est ainsi
Par la faute de l’homme …
Qui lui reproche le même discrédit !
Pourquoi donc en faire des tonnes !

Alors que nous ignorons tout
De qui a fait le partage…
Des différents atouts
Et autres mirages !!!

Si les hommes cessaient enfin
De dire des femmes
Ce que celles-ci disent avec soin
Des hommes sans âme…

On mettrait un terme
A la guerre des sexes
Pour qu’enfin on discerne
Qui est simple ou complexe !!!

Quand les poules auront des dents
Soit aux calendes Grecques… !
Quand on aura trouvé le temps
De résoudre la quadrature du cercle !


Dans le pire des cas
Entre Sodome et Lesbos
Nous aurons le choix…
Entre creux et bosses !!!
30 01 2018
















































Bohême


Bohême



Le papier est un ruisseau

Où se promène ma plume…

Déambulant au hasard des mots

Rêveuse ou opportune…



Elle invente des décors

En créant des personnages

Qui peu à peu prennent corps…

Comme des images…



Cabane dans la forêt

Ou phare sur la mer…

Sur un arbre perché

Selon son imaginaire…



Elle esquisse ou accentue…

Effleure ou suggère…

Nonchalante ou têtue…

Parfois pamphlétaire…



Volubile ou silencieuse…

Sarcastique ou amène…

Pertinente ou langoureuse

Au fil de mes poèmes…



Egratigne ou insinue…

Courtise ou séduit…

Encense ou diminue

Pas perdus ou insomnies…



Ma plume telle une source

Sur un lit de fougères

Glisse parmi la mousse…

Fluide et légère…



Patte de velours

                                                                   Pour caresser les mots…

Ou dire sans détour

Sans courber le dos…



Ma plume est vagabonde…

Troubadour et ménestrel …

Fraîche comme une onde

Et chante comme une airelle…



30 01 2018
































jeudi 25 janvier 2018

être et avoir été


Etre et avoir été



Il faut vieillir

En prenant le temps

En laissant à l’avenir

Le choix d’en faire autant…



Rien ne sert de courir

Pour mourir à point…

Le reste des années à venir

S’en chargera avec soin !



Calmer le jeu

N’est pas dévalorisant

Si l’on accepte d’être vieux

Après avoir été performant !



Les rêves sont différents

Les projets plus modestes…

Sans nuire à l’émerveillement

Qui s’accommodera du reste !



Tout est dans la tête

Si le corps suit…

La sagesse est une fête

Qui extrait le nectar du fruit…



Il n’est nul déclin

Préjudiciable au bonheur…

S’il annonce la fin

Il peut embellir les heures…



Le temps qui court

Ne se rattrape jamais…

Mais il peut conjuguer l’amour

Avec le verbe aimer…



Nous sommes souvent

Ce que nous voulons être…

Opportunément ou accident…

L’élève ou le maître !



25 01 2018














samedi 20 janvier 2018

chemin de croix


Chemin de croix



Il n’y a pas de saints

Qui n’aient choisi leur église…

Avec un sens de l’humain

Personnalisé à leur guise…



Les artistes sont des prophètes

Sorte de visionnaires…

Les romantiques des poètes

Friands e chimères…



Les uns prédisent

En espérant viser juste…

Les autres idéalisent

 faisant de leurs rêves un culte…



Les deux voyagent

Et brassent le temps…

Dans un ciel de nuages

Comme des moulins à vent…



La vérité est souterraine

Et seulement personnelle…

Seule la foi est souveraine

Et fait pousser des ailes !



A chacun ses causes illusoires

Ou ses croisades chimériques…


mardi 9 janvier 2018

mauvais peintre


Mauvais peintre



Je suis le peintre de l’absurde

Et mon tableau n’est pas parfait…

La tâche était trop rude…

Et l’approximation me suffisait !



La pauvreté de ma palette

N’a pas pu faire mieux…

Il faudra faire avec les miettes…

De ce qui aurait pu être somptueux…



Le moule était perfectible…

Et j’ai fait peu d’efforts…

Mais l’œuvre est crédible…

Avec si peu d’esprit de corps !



La terre se détruira un jour…

Et un autre peintre viendra…

Pour remédier au manque d’amour…

Qui l’a faite basculer dans l’au-delà…



En attendant la fable perdure

Et les hommes croient en moi…

En ignorant mes ratures

Au bénéfice de la foi !



Indigents furent mes pinceaux…

Et mon chevalet bancal

Fut un coup d’épée dans l’eau…

Et non de l’art pictural !



Depuis deux millénaires

Mon œuvre périclite…

Née d’un peintre imaginaire…

Afin que tout s’explique !



Mais quel artiste visionnaire

Aurait pu avec si peu de moyens

Faire tourner la terre

Et lui trouver une fin !



J’en connais hélas l’issue……

Un couloir où piétineront

Dans cette salle des pas perdus

Les hommes et leurs passions !



09 01 2018






































Mauvais peintre

Je suis le peindre de l’absurde
Et mon tableau n’est pas parfait…
La tâche était trop rude…
Et l’approximation me suffisait !

La pauvreté de ma palette
N’a pas pu faire mieux…
Il faudra faire avec les miettes…
De ce qui aurait pu être somptueux…

Le moule était perfectible…
Et j’ai fait peu d’efforts…
Mais l’œuvre est crédible…
Avec si peu d’esprit de corps !

La terre se détruira un jour…
Et un autre peintre viendra…
Pour remédier au manque d’amour…
Qui l’a faite basculer dans l’au-delà…

En attendant la fable perdure
Et les hommes croient en moi…
En ignorant mes ratures
Au bénéfice de la foi !

Indigents furent mes pinceaux…
Et mon chevalet bancal
Fut un coup d’épée dans l’eau…
Et non de l’art pictural !

Depuis deux millénaires
Mon œuvre périclite…
Née d’un peintre imaginaire…
Afin que tout s’explique !

Mais quel artiste visionnaire
Aurait pu avec si peu de moyens
Faire tourner la terre
Et lui trouver une fin !

J’en connais hélas l’issue……
Un couloir où piétineront
Dans cette salle des pas perdus
Les hommes et leurs passions !

09 01 2018
























   
 











   

 

lundi 1 janvier 2018

les anciens

Les anciens

A toute époque
Il y eut de jeunes loups…
Les mêmes dont on se moque
Sitôt devenus de vieux fous…
Mais avant leur crépuscule
Ils eurent des aubes somptueuses…
Des décennies au riche cumul…
Une palette de teintes généreuses !

Ce sont des anciens
Au savoir de valeur…
Détrônés par de plus malins
Au regard novateur !

Qui disent comment vivre…
En raturant ce qui a été dit…
Eux qui n’ont pas écrit le livre
Du temps qui forge la vie !

Ils prennent le train en marche
Et veulent voyager assis…
Chaque jour est un dimanche
Confortés par peu d’acquits…

Quelle est cette frontière
Qui sépare les générations…
Avant c’était juste naguère…
Depuis est née l’ incompréhension !

Une année lumière
N’est qu’un saut de puce
Perdu dans l’univers…
Et nos problèmes de cursus…

Devaient être dérisoires…
Mais d’autres valeurs
Encore plus aléatoires
Sont devenues majeures !

Un jour les jeunes loups
Aux dents pointues
Diront aux vieux fous
Qu’il est bon de n’avoir rien su…  01 01 2018