lundi 25 décembre 2017

poème fou

Poème fou

La douce folie est une alchimie…
Soigneusement élaborée…
Un tiers de fantaisie
Un autre d’espièglerie mesurée…

Un troisième de sérieux arboré
Et surtout un état de grâce
Fait de naïveté
Dans le goût de la farce !

Tant pis pour le tiers de trop…
Mais mon artistique flou…
Me répond en écho
Que je suis un peu fou !

Je suis bien au-delà
De la norme de docteurs suicidés…
Largement au-dessus du cota
Dommage pour ces désespérés !

On aurait dû enseigner
Aux élèves psychiatres
Une pédagogie adaptée
Dans les amphithéâtres !

Pour des cas à géométrie variable
Avec calculs en soufflerie !
Afin de détecter le grain de sable
Qui change la raison en folie !

Cette idée me semble neuve
Et pour Noël serait un cadeau…
J’en veux pour preuve
Mon illustre berceau

Sur lequel on aurait pu jeter un regard
Quand on pouvait encore intervenir
Maintenant qu’il est trop tard
Je reste avec mes délires !

25 12 2017









samedi 23 décembre 2017

la vie

La vie

Je suis la maîtresse
Que chacun courtise…
Et aussi  la traîtresse
Qui met le feu et l’attise…

Je fais battre les cœurs
Et pulse le sang dans les veines…
En orchestrant le bonheur
Qu’à ma guise je sème…

Je suis la meilleure amie
Celle qui vous veut du bien…
Et la pire des ennemies
Au hasard de mon chemin…

C’est moi qui dévide l’écheveau
Et déroule le fil rouge…
Qui conduit à son propre lot
Un palais ou un bouge…

Je décide seule
De qui voyage assis…
Le cœur de la meule…
Ou debout avec dépit…

Je suis la machine
Dont je gère chaque rouage…
Je suis la rose et ses épines…
La poire ou le fromage…

Je donne ou coupe des ailes…
Je procure l’émerveillement…
Les feuilles mortes à la pelle
Et le désenchantement…

Je distribue les rôles
Et courbent les dos…
Ou j’offre une épaule
Pour sécher les sanglots…

22 12 2017





























 La vie

Je suis la maîtresse
Que chacun courtise…
Et aussi  la traîtresse
Qui met le feu et l’attise…

Je fais battre les cœurs
Et pulse le sang dans les veines…
En orchestrant le bonheur
Qu’à ma guise je sème…

Je suis la meilleure amie
Celle qui vous veut du bien…
Et la pire des ennemies
Au hasard de mon chemin…

C’est moi qui dévide l’écheveau
Et déroule le fil rouge…
Qui conduit à son propre lot
Un palais ou un bouge…

Je décide seule
De qui voyage assis…
Le cœur de la meule…
Ou debout avec dépit…

Je suis la machine
Dont je gère chaque rouage…
Je suis la rose et ses épines…
La poire ou le fromage…

Je donne ou coupe des ailes…
Je procure l’émerveillement…
Les feuilles mortes à la pelle
Et le désenchantement…

Je distribue les rôles
Et courbent les dos…
Ou j’offre une épaule
Pour sécher les sanglots…

22 12 2017




























 La vie

Je suis la maîtresse
Que chacun courtise…
Et aussi  la traîtresse
Qui met le feu et l’attise…

Je fais battre les cœurs
Et pulse le sang dans les veines…
En orchestrant le bonheur
Qu’à ma guise je sème…

Je suis la meilleure amie
Celle qui vous veut du bien…
Et la pire des ennemies
Au hasard de mon chemin…

C’est moi qui dévide l’écheveau
Et déroule le fil rouge…
Qui conduit à son propre lot
Un palais ou un bouge…

Je décide seule
De qui voyage assis…
Le cœur de la meule…
Ou debout avec dépit…

Je suis la machine
Dont je gère chaque rouage…
Je suis la rose et ses épines…
La poire ou le fromage…

Je donne ou coupe des ailes…
Je procure l’émerveillement…
Les feuilles mortes à la pelle
Et le désenchantement…

Je distribue les rôles
Et courbent les dos…
Ou j’offre une épaule
Pour sécher les sanglots…

22 12 2017




























 La vie

Je suis la maîtresse
Que chacun courtise…
Et aussi  la traîtresse
Qui met le feu et l’attise…

Je fais battre les cœurs
Et pulse le sang dans les veines…
En orchestrant le bonheur
Qu’à ma guise je sème…

Je suis la meilleure amie
Celle qui vous veut du bien…
Et la pire des ennemies
Au hasard de mon chemin…

C’est moi qui dévide l’écheveau
Et déroule le fil rouge…
Qui conduit à son propre lot
Un palais ou un bouge…

Je décide seule
De qui voyage assis…
Le cœur de la meule…
Ou debout avec dépit…

Je suis la machine
Dont je gère chaque rouage…
Je suis la rose et ses épines…
La poire ou le fromage…

Je donne ou coupe des ailes…
Je procure l’émerveillement…
Les feuilles mortes à la pelle
Et le désenchantement…

Je distribue les rôles
Et courbent les dos…
Ou j’offre une épaule
Pour sécher les sanglots…

22 12 2017




























 La vie

Je suis la maîtresse
Que chacun courtise…
Et aussi  la traîtresse
Qui met le feu et l’attise…

Je fais battre les cœurs
Et pulse le sang dans les veines…
En orchestrant le bonheur
Qu’à ma guise je sème…

Je suis la meilleure amie
Celle qui vous veut du bien…
Et la pire des ennemies
Au hasard de mon chemin…

C’est moi qui dévide l’écheveau
Et déroule le fil rouge…
Qui conduit à son propre lot
Un palais ou un bouge…

Je décide seule
De qui voyage assis…
Le cœur de la meule…
Ou debout avec dépit…

Je suis la machine
Dont je gère chaque rouage…
Je suis la rose et ses épines…
La poire ou le fromage…

Je donne ou coupe des ailes…
Je procure l’émerveillement…
Les feuilles mortes à la pelle
Et le désenchantement…

Je distribue les rôles
Et courbent les dos…
Ou j’offre une épaule
Pour sécher les sanglots…

22 12 2017




























 La vie

Je suis la maîtresse
Que chacun courtise…
Et aussi  la traîtresse
Qui met le feu et l’attise…

Je fais battre les cœurs
Et pulse le sang dans les veines…
En orchestrant le bonheur
Qu’à ma guise je sème…

Je suis la meilleure amie
Celle qui vous veut du bien…
Et la pire des ennemies
Au hasard de mon chemin…

C’est moi qui dévide l’écheveau
Et déroule le fil rouge…
Qui conduit à son propre lot
Un palais ou un bouge…

Je décide seule
De qui voyage assis…
Le cœur de la meule…
Ou debout avec dépit…

Je suis la machine
Dont je gère chaque rouage…
Je suis la rose et ses épines…
La poire ou le fromage…

Je donne ou coupe des ailes…
Je procure l’émerveillement…
Les feuilles mortes à la pelle
Et le désenchantement…

Je distribue les rôles
Et courbent les dos…
Ou j’offre une épaule
Pour sécher les sanglots…

22 12 2017




























 La vie

Je suis la maîtresse
Que chacun courtise…
Et aussi  la traîtresse
Qui met le feu et l’attise…

Je fais battre les cœurs
Et pulse le sang dans les veines…
En orchestrant le bonheur
Qu’à ma guise je sème…

Je suis la meilleure amie
Celle qui vous veut du bien…
Et la pire des ennemies
Au hasard de mon chemin…

C’est moi qui dévide l’écheveau
Et déroule le fil rouge…
Qui conduit à son propre lot
Un palais ou un bouge…

Je décide seule
De qui voyage assis…
Le cœur de la meule…
Ou debout avec dépit…

Je suis la machine
Dont je gère chaque rouage…
Je suis la rose et ses épines…
La poire ou le fromage…

Je donne ou coupe des ailes…
Je procure l’émerveillement…
Les feuilles mortes à la pelle
Et le désenchantement…

Je distribue les rôles
Et courbent les dos…
Ou j’offre une épaule
Pour sécher les sanglots…

22 12 2017




























 La vie

Je suis la maîtresse
Que chacun courtise…
Et aussi  la traîtresse
Qui met le feu et l’attise…

Je fais battre les cœurs
Et pulse le sang dans les veines…
En orchestrant le bonheur
Qu’à ma guise je sème…

Je suis la meilleure amie
Celle qui vous veut du bien…
Et la pire des ennemies
Au hasard de mon chemin…

C’est moi qui dévide l’écheveau
Et déroule le fil rouge…
Qui conduit à son propre lot
Un palais ou un bouge…

Je décide seule
De qui voyage assis…
Le cœur de la meule…
Ou debout avec dépit…

Je suis la machine
Dont je gère chaque rouage…
Je suis la rose et ses épines…
La poire ou le fromage…

Je donne ou coupe des ailes…
Je procure l’émerveillement…
Les feuilles mortes à la pelle
Et le désenchantement…

Je distribue les rôles
Et courbent les dos…
Ou j’offre une épaule
Pour sécher les sanglots…

22 12 2017




























 La vie

Je suis la maîtresse
Que chacun courtise…
Et aussi  la traîtresse
Qui met le feu et l’attise…

Je fais battre les cœurs
Et pulse le sang dans les veines…
En orchestrant le bonheur
Qu’à ma guise je sème…

Je suis la meilleure amie
Celle qui vous veut du bien…
Et la pire des ennemies
Au hasard de mon chemin…

C’est moi qui dévide l’écheveau
Et déroule le fil rouge…
Qui conduit à son propre lot
Un palais ou un bouge…

Je décide seule
De qui voyage assis…
Le cœur de la meule…
Ou debout avec dépit…

Je suis la machine
Dont je gère chaque rouage…
Je suis la rose et ses épines…
La poire ou le fromage…

Je donne ou coupe des ailes…
Je procure l’émerveillement…
Les feuilles mortes à la pelle
Et le désenchantement…

Je distribue les rôles
Et courbent les dos…
Ou j’offre une épaule
Pour sécher les sanglots…

22 12 2017





























dimanche 17 décembre 2017

sauve qui peut

Sauve qui peut !

Pas à pas ou à une allure folle
Presqu’à coup sur Le tabac tue !
Pareil pour le cholestérol
Qui coute en plus à la sécu !

 Les poumons et les artères
Sont en mauvaise posture !
Face à pareil adversaire
Aussi terre à terre !

Le sucre est contre l’intelligence
Dépositaire du diabète…
Un autre prix d’excellence
Dirait le prophète !

Il reste l’amour
Qui exercé à point d’heure
Est un aller sans retour
Pour notre petit cœur !

Enfin mille cancers
Derrière la porte
Attendent, pervers
Que le diable nous emporte !

Nous aurons pour oraison
D’avoir vécu abusivement
Contre toute raison
Nous éloignant du néant !

Mais par chance
Ça n’est que  provisoire !
Il y a une providence !
Même pas aléatoire !

Une banale et  simple mort
Nous sauvera la face !
En épargnant nos corps
De toutes ces menaces !!!

17 12 2017

Joyeux Noël à tous les vivants !