mardi 21 avril 2020

A propos


A propos…



Les moutons de Panurge

Traversent dans les clous…

Et jamais ne s’insurgent

De marcher au licou…



Dans les bergeries

Nulle révolte ne gronde…

On cloue aux pilories

Toute réflexion profonde…



Le silence est d’or

Et la parole dérisoire…

On poursuit de tout son corps

Sa petite vie aléatoire…



Du haut de leurs remparts

Les archers du roi

Guettent de leur regard

Les dérives de la loi…



Les chiens de troupeaux

Serviteurs du royaume

Se font le servile écho

D’un seul homme…



Les flèches révolutionnaires

N’ont plus la cote

Elles ne pleuvent plus en chaumière

Et se promènent sans culotte…



Nous marchons comme Gavroche

A pas trébuchants…

Tandis qu’on nous vide les poches

Chemin faisant…



Vive les châteaux forts

Et le temps des seigneurs…

Nous serons bientôt morts

A cause des saigneurs…



21 4 2020































A propos…



Les moutons de Panurge

Traversent dans les clous…

Et jamais ne s’insurgent

De marcher au licou…



Dans les bergeries

Nulle révolte ne gronde…

On cloue aux pilories

Toute réflexion profonde…



Le silence est d’or

Et la parole dérisoire…

On poursuit de tout son corps

Sa petite vie aléatoire…



Du haut de leurs remparts

Les archers du roi

Guettent de leur regard

Les dérives de la loi…



Les chiens de troupeaux

Serviteurs du royaume

Se font le servile écho

D’un seul homme…



Les flèches révolutionnaires

N’ont plus la cote

Elles ne pleuvent plus en chaumière

Et se promènent sans culotte…



Nous marchons comme Gavroche

A pas trébuchants…

Tandis qu’on nous vide les poches

Chemin faisant…



Vive les châteaux forts

Et le temps des seigneurs…

Nous serons bientôt morts

A cause des saigneurs…



21 4 2020































A propos…



Les moutons de Panurge

Traversent dans les clous…

Et jamais ne s’insurgent

De marcher au licou…



Dans les bergeries

Nulle révolte ne gronde…

On cloue aux pilories

Toute réflexion profonde…



Le silence est d’or

Et la parole dérisoire…

On poursuit de tout son corps

Sa petite vie aléatoire…



Du haut de leurs remparts

Les archers du roi

Guettent de leur regard

Les dérives de la loi…



Les chiens de troupeaux

Serviteurs du royaume

Se font le servile écho

D’un seul homme…



Les flèches révolutionnaires

N’ont plus la cote

Elles ne pleuvent plus en chaumière

Et se promènent sans culotte…



Nous marchons comme Gavroche

A pas trébuchants…

Tandis qu’on nous vide les poches

Chemin faisant…



Vive les châteaux forts

Et le temps des seigneurs…

Nous serons bientôt morts

A cause des saigneurs…



21 4 2020































A propos…



Les moutons de Panurge

Traversent dans les clous…

Et jamais ne s’insurgent

De marcher au licou…



Dans les bergeries

Nulle révolte ne gronde…

On cloue aux pilories

Toute réflexion profonde…



Le silence est d’or

Et la parole dérisoire…

On poursuit de tout son corps

Sa petite vie aléatoire…



Du haut de leurs remparts

Les archers du roi

Guettent de leur regard

Les dérives de la loi…



Les chiens de troupeaux

Serviteurs du royaume

Se font le servile écho

D’un seul homme…



Les flèches révolutionnaires

N’ont plus la cote

Elles ne pleuvent plus en chaumière

Et se promènent sans culotte…



Nous marchons comme Gavroche

A pas trébuchants…

Tandis qu’on nous vide les poches

Chemin faisant…



Vive les châteaux forts

Et le temps des seigneurs…

Nous serons bientôt morts

A cause des saigneurs…



21 4 2020































A propos…



Les moutons de Panurge

Traversent dans les clous…

Et jamais ne s’insurgent

De marcher au licou…



Dans les bergeries

Nulle révolte ne gronde…

On cloue aux pilories

Toute réflexion profonde…



Le silence est d’or

Et la parole dérisoire…

On poursuit de tout son corps

Sa petite vie aléatoire…



Du haut de leurs remparts

Les archers du roi

Guettent de leur regard

Les dérives de la loi…



Les chiens de troupeaux

Serviteurs du royaume

Se font le servile écho

D’un seul homme…



Les flèches révolutionnaires

N’ont plus la cote

Elles ne pleuvent plus en chaumière

Et se promènent sans culotte…



Nous marchons comme Gavroche

A pas trébuchants…

Tandis qu’on nous vide les poches

Chemin faisant…



Vive les châteaux forts

Et le temps des seigneurs…

Nous serons bientôt morts

A cause des saigneurs…



21 4 2020






























Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire