A mon ordinateur
Pardon mon ordinateur
De t’avoir souvent insulté
Et dit plein d’horreurs !
Dès que tu refusais
De céder à mes caprices
Et à mes exigences
En attendant que je finisse
Par admettre mon incompétence !
Aujourd’hui je te maitrise…
Enfin je crois !
Jouant avec toi à ma guise
C’est une affaire de foi !
Mais à la première incartade
Je te préviens
Je vais au cœur de ton myocarde
Et je saute à pieds joints !
1 9 2009
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